La « crainte du Seigneur » est une composante de la foi.
Cette crainte est faite de respect et de soumission,
de confiance en sa sagesse, en sa puissance et en son amour.
Elle nous rend réceptif à l’action de l’Esprit Saint.
La crainte de Dieu n’est pas synonyme de terreur,
mais de profond respect envers Lui.
Elle suppose la relation à Dieu.
Elle est un des sept dons du Saint Esprit.
(Définition AELF)
Alléluia ! Heureux qui craint le Seigneur,
qui aime entièrement sa volonté !
Sa lignée sera puissante sur la terre ;
la race des justes est bénie.
Les richesses affluent dans sa maison :
à jamais se maintiendra sa justice.
Lumière des cœurs droits, il s’est levé dans les ténèbres,
homme de justice, de tendresse et de pitié.
L’homme de bien a pitié, il partage ;
il mène ses affaires avec droiture.
Cet homme jamais ne tombera ;
toujours on fera mémoire du juste.
Il ne craint pas l’annonce d’un malheur :
le cœur ferme, il s’appuie sur le Seigneur.
Son cœur est confiant, il ne craint pas :
il verra ce que valaient ses oppresseurs.
A pleines mains, il donne au pauvre ;
à jamais se maintiendra sa justice,
sa puissance grandira, et sa gloire !
L’impie le voit et s’irrite ;
il grince des dents et se détruit.
L’ambition des impies se perdra.